La Banque Scotia met tout en œuvre pour que la diversité et l’inclusion se manifestent au quotidien par l’entremise de ses employés, de sa culture d’entreprise et de son travail. Au cours des derniers mois, l’engagement de la Banque envers la diversité et l’inclusion et envers le perfectionnement de leaders performants qui sont à l’image de nos clients et de nos employés a été une priorité importante. La stratégie renouvelée de la Banque Scotia en matière de diversité se concentre sur les groupes d’employés sous-représentés, et met en place des jalons annuels qui lui permettront d’atteindre ses objectifs au Canada.
Pour souligner le Mois de l’histoire des Noirs, nous avons demandé à quelques BanquiersScotia de nous expliquer l’importance qu’ils accordent à la représentation et de nous parler de leurs espoirs pour l’avenir!
- Molara, directrice principale, Diversité et inclusion
- Sean, premier vice-président régional
- Bolu, directrice, Surveillance et contrôle, Lutte contre le blanchiment d’argent et Lutte contre la corruption et les pots-de-vin
- Mark, premier directeur, Services d’évaluation actuarielle
- Daniel, négociateur à honoraires
- Ejiro, directrice principale, Segment de marché
- Caroline, conseillère financière
« Si vous savez d’où vous venez, vous pouvez tracer un parcours pour l’avenir. Le Mois de l’histoire des Noirs est un excellent rappel que nous devons accepter notre histoire, comprendre et relever le défi, et bâtir l’avenir. » – Sean Albert, premier vice-président régional
Meaghan : En quoi le Mois de l’histoire des Noirs est-il différent pour vous cette année?
Bolu : Les événements récents ont mis en évidence les défis auxquels la communauté noire doit faire face. Plus les gens prennent conscience de ces défis, moins ils sont enclins à laisser les choses demeurer telles quelles. Cette année, je pense que la communauté noire a gagné des alliés qui jouent un rôle essentiel dans le changement de la stigmatisation et des préjugés qu’elle subit et dans l’éradication du racisme.
Ejiro : Les événements du passé sont associés à une honte et il peut être difficile d’encourager les gens à apprendre l’histoire des Noirs. Cependant, les choses sont différentes cette année. Nous écrivons une page de l’histoire en ce moment même, et on ressent les changements à l’échelle mondiale. Il y a encore beaucoup d’enseignements à faire et à tirer, mais je suis heureuse de faire partie de cette transformation.
Meaghan : Pourquoi la représentation est-elle importante pour vous?
Sean : Parfois, les défis peuvent sembler insurmontables lorsque rien ne démontre qu’il est possible de les relever. C’est pourquoi la représentation et la sensibilisation à l’inclusion sont si importantes à la Banque Scotia.
Molara : La représentation est importante, parce qu’elle favorise un sentiment d’appartenance, élimine les obstacles et crée l’égalité d’accès et de chances pour tous.
Bolu : La représentation, ça compte, parce qu’elle apprend aux gens qui n’ont pas d’origine noire à affronter les préjugés.
Mark : La représentation est une conséquence naturelle de la croyance en la diversité et l’inclusion. Elle prouve qu’il est possible de saisir des occasions diversifiées et elle est importante, car elle témoigne des promesses d’équité.
Daniel : Pour moi, la représentation est une source d’inspiration. Il peut sembler impossible d’être ce qu’on ne voit pas. Nous devons être représentés dans les postes de direction, de gestion et de leadership afin que nos ambitions professionnelles soient nourries.
Ejiro : La représentation donne l’occasion aux gens d’avoir leur mot à dire dans la prise de décisions qui les touche. La représentation, ça compte, parce que chaque voix mérite d’être entendue.
Meaghan : Que peuvent faire vos pairs pour favoriser l’inclusion et le sentiment d’appartenance sur le lieu de travail?
Caroline : Les conversations ouvertes au cours desquelles les gens peuvent poser et se faire poser des questions dans un cadre propice constituent le meilleur moyen de favoriser l’inclusion et le sentiment d’appartenance au travail. Un dialogue franc entre pairs est essentiel pour apprendre des uns et des autres.
Bolu : Ils doivent faire trois choses : écouter, sensibiliser et favoriser le changement. Écoutez les difficultés auxquelles vos collègues noirs font face en ayant une ouverture d’esprit. Demandez-vous comment vous pouvez contribuer au changement. Nous avons chacun un rôle à jouer et avec le temps, de petits gestes peuvent faire une grande différence!
Mark : Pour favoriser l’inclusion, nous pouvons faire l’effort de lutter contre nos préjugés inconscients et notre tendance à utiliser des étiquettes. Nous devons être à l’aise de partager, de communiquer et de faire preuve d’empathie envers nos pairs.
Meaghan : Selon vous, comment la Banque Scotia a-t-elle soutenu ses employés noirs?
Molara : Des milieux sécuritaires ont été créés pour permettre aux employés noirs de partager leurs expériences. Après nous avoir écoutés, l’équipe de la haute direction a mis en place des stratégies pour assurer la diversité et l’inclusion dans notre lieu de travail.
Daniel : L’une des ressources les plus importantes est le Réseau d’employés noirs de la Banque Scotia, qui favorise le partage d’expérience, de mécanismes d’adaptation et de stratégies de réussite. Une autre source de soutien est également née de l’association de la Banque à l’initiative BlackNorth, dont l’objectif global est d’éliminer la discrimination raciale tant au sein de la Banque que dans les collectivités où elle exerce ses activités.
Sean : La Banque Scotia, qui est l’un des signataires fondateurs de l’initiative BlackNorth, s’engage à augmenter la représentation d’employés noirs qui sont issus d’un programme coopératif, qui effectuent un stage ou qui occupent un poste de vice‑président ou d’échelons supérieurs. Nous y parviendrons grâce à nos équipes des RH et de l’Acquisition des talents qui collectent déjà les données nécessaires et créent des solutions novatrices. Nous avons des objectifs ambitieux et nous les atteindrons ensemble.
Meaghan : En ce qui concerne la diversité, l’équité et l’inclusion, qu’est-ce qui vous donne de l’espoir pour l’année à venir?
Ejiro : C’est la première fois qu’une si grande communauté regroupant d’autres races s’engage à soutenir la cause et à prêter leurs voix aux problèmes que nous vivons. J’ai de l’espoir, car pour une fois, les gens parlent de ces problèmes comme une cause commune, et non celle des Noirs.
Caroline : Ce qui me donne de l’espoir, c’est le fait que les gens célèbrent l’excellence des Noirs, qu’ils mettent en avant le mouvement BLM et qu’ils aient des conversations difficiles. J’espère que ces conversations ne sont pas simplement un effet de mode et qu’elles continueront pour mettre fin au racisme systémique et créer une véritable égalité pour tous.
Sean : Les conversations et le fait d’affronter les malaises me donnent de l’espoir. Nous avons du courage et nous utilisons la peur comme un moteur plutôt qu’un frein. La Banque s’est fixé des objectifs ambitieux, nos dirigeants posent les bonnes questions et prennent les mesures appropriées pour concrétiser les plans. Je suis particulièrement honoré et fier de nos équipes qui travaillent à la création d’espaces sécuritaires où chacun se sent soutenu. Mais nous devons utiliser ces espaces pour nous exprimer et nous épauler les uns les autres.
« Je continue d’être impressionné par nos employés de première ligne et les héros méconnus des GRE de toute la Banque qui jouent un rôle essentiel à l’établissement d’une banque encore plus solide. Chacun de nous doit contribuer à cet élan et s’engager à soutenir l’action. C’est ce soutien qui sera la véritable mesure du succès. »
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